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Les
toitures
Le propriétaire d’une maison est tenu
d’entretenir sa toiture, et est responsable des dégâts ou
blessures qu’elle pourrait
occasionner. De la même manière, des désordres occasionnés à votre
maison (vos combles par
exemple) du fait d’une toiture mal entretenue ne seront pas pris en compte
par les assurances ou la
garantie décennale du comble.
Il est donc important de se
préoccuper régulièrement de cet élément qu’on a un peu tendance à
oublier, parce qu’il est
difficile d’accès, qu’on a peu à faire avec lui dans la vie quotidienne et que
nos yeux s’y posent
rarement.
La fonction première de la
couverture est bien sûr de protéger la maison, et ce, quelle que soit la météo
:
pluie, neige, gel, vent
violent. Le moindre passage d’eau, même quelques gouttes, peut avoir des
conséquences désastreuses
(démarrage de mérule par exemple). Pour cette raison, il est impératif, même
si la couverture paraît
simple à réaliser, d’avoir recours à un professionnel, la seule solution
sérieuse
pour avoir une couverture
de qualité, garantie, et de ne pas craindre les accidents.
La toiture d’une maison
représente parfois une surface équivalente,
même supérieure à celle des
murs. Elle donne à votre maison une
grande partie de sa
personnalité. C’est pourquoi il convient de porter
une attention toute
particulière à la forme, au format ou au coloris
du matériau choisi (sachant
qu’en fonction des régions de France
les choix sont limités).
Depuis plusieurs année la
toiture doit maintenant remplir des fonctions
d’isolation thermique et
acoustique.
Dans un proche avenir la
toiture deviendrait encore fortement évoluer
pour devenir aussi source
d’énergie (solaire, éolien).
Combles et Volumes
n’intervient pas au niveau des toitures, sauf pour
des raisons très
particulières, et bien entendu pour l’installation de
fenêtres de toit, qui vont
souvent de paire avec un aménagement de
combles.
La pente de la toiture est
un facteur important pour le choix de la
taille des ouvertures de
toit.
Faible pente : 15
degrés Forte pente : 55
degrés
Lien à consulter : Fiche ANAH « Combles et
couvertures »
Fiche ANAH « ouvrages annexes de
toiture »
Fiche « plan et termes de toiture »
Les
éléments de toitures
Tout d'abord il y a le
support, constitué par la charpente qu'elle peut être en bois,
traditionnelle ou
industrialisée comme les fermettes, ou métallique. Sur cette
charpente vient l'écran de
sous-toiture et l'élément de couverture proprement dit,
exemple l’ardoise ou la
tuile avec son liteau, et enfin toutes les pièces de finition,
qu'elles soient spécifiques
à la tuile posée (Chatière, douille..), ou qu'elles soient
communes (faîtières, rives,
arêtiers), ainsi que des accessoires qui vont rendre
la couverture plus
performante.
Pour certains toits et dans
certaines zones géographiques, un écran de sous toiture
se glisse entre la
charpente et la couverture. Un écran de sous-toiture est une feuille
souple, en matière
plastique (parfois armée) ou bitumineuse.
Pour autant les écrans
de sous-toiture ne doivent pas être considérés comme
des revêtements étanches et
ne peuvent se substituer aux matériaux de la couverture.
Quoiqu'il en soit,
l'utilité d'un écran de sous-toiture n'est plus à démontrer.
Il est donc plus sûr d'en
prévoir un, même si les textes ne l'imposent pas
Expressément pour le
moment.
La couverture se
segmente en deux catégories d'éléments : le plain carré, ce sont
les grands pans de toiture
entièrement couverts, les points singuliers, ce sont
les parties de la
couverture qui ont une fonction où un emplacement particulier.
Ainsi on distinguera : les
sorties de cheminé et de VMC, pour l'évacuation d'air
en provenance de
l'intérieur. Les lucarnes et fenêtres de toit pour l'éclairement
des combles. Les égouts,
rives, faîtières et arêtiers qui marquent les changements
de volume de la couverture
et ses limites.
Pour chacun de ces points
singuliers, il est nécessaire d'assurer une étanchéité parfaite.
On peut rencontrer toute
sorte de produits sur les toitures :
·
ardoise
naturelle ou synthétique dans nos régions
·
tuile
en terre cuite, tuiles en bois, tuile plate
·
lauze
(pierre plate)
·
zinc
sur les toits plats
·
chaume
·
bardeau
bitumeux
·
plaques
asphaltées (Shingles, Shakes) etc.
L’agrément NF et le label
CSTBat garantissent la qualité et conformité des produits
de toiture.
Les liens utiles :
Lexique des termes de toiture par les
artisans couvreurs du Quebec
Un second glossaire détaillé de
charpente et couverture plein de vieux termes de métier.
Ecrans sous toiture :
voir lien toiture.com « les écrans de
sous-toiture »
Isolation : voir rubrique « isolation » du site
et lien « les
solutions d’isolation »
de toiture.com
Entretien des toitures
Sécurité : l’entretien d’une toiture implique des
risques. Si vous n’avez pas les équipements
requis, si vous
craignez le vertige etc. laissez faire un professionnel.
Attention aux
chutes d’outils ou d’éléments de toiture sur les personnes en bas, vous êtes
responsable !
Interdisez toutes les entrées sorties pendant votre intervention.
Ne pas oublier
aussi que les chutes d’échelle sont très fréquentes, même un simple nettoyage
de gouttière doit
se faire avec prudence !
Une toiture doit être
contrôlée et entretenue régulièrement, mais cela est rarement fait.
Puisque vous envisagez des
travaux de combles, c’est là une bonne occasion de le faire,
et même la dernière pour
une partie de la toiture et de la charpente qui vont disparaître
derrière les isolations et
les cloisons de placo.
L’aménagement d’un comble
est une opération complexe et coûteuse qu’il serait dommage de
compromettre en négligeant
de commencer par une inspection sérieuse de la toiture et une remise
en état si nécessaire. Par
« toiture » on sous-entendra le plus généralement couverture, cheminées,
Vélux, antenne etc. car il
y a bien plus de choses sur un toit qu’il n’y parait au premier abord !
Voici quelques unes des choses à contrôler là
haut :
·
état
des ardoises, tuiles, zinc ou autre
·
état des fixations (crochets
d’ardoise)
·
étanchéité
de la couverture
·
état
des cheminées, du boisseau, étanchéité au niveau des solins
contrôle
de la charpente (pourriture, insectes, déformations, fissures,
ancrage
au murs, pointes rouillées ou cassées)
·
vérification
de la bonne ventilation de la charpente
·
état
des gouttières
·
état
des pignons
·
état
des ouvertures (velux)
·
état
des sorties de ventilation
·
états
des « décorations » (girouette, épi
de faîtage, antenne télé…)
Un certain nombres
d’opérations légères sont facilement réalisables :
·
nettoyage
(« démoussage », lichen, végétation) et lavage.
·
produit
anti-mousse et hydrofuge sur toiture et murs
·
remplacement
des éléments abîmés, des crochets d’ardoise rouillés
·
re-fixer
chéneaux, rives et autres éléments susceptibles de tomber
·
entretien
des « planchers sous rives », des cache-moineaux
·
réfection des gouttières,
nettoyage (curage), dépose des grilles
·
création
ou agrandissement des ouvertures
·
contrôle
de la fixation de l’antenne de télévision et de son état *
·
ramonage
(peut révéler des problèmes cachés du boisseau)
D’autres opérations plus lourdes sont possible si
l’opportunité se présente :
·
installation
d’un écran de sous toiture
·
installation
d’une isolation par l’extérieur
*
Antenne télé :
profitez de l’occasion pour procéder éventuellement à sa mise à niveau
(réception C+, satellite).
Attention
aussi à l’entrée d’eau par son câble, vérifier le passage à travers la toiture
souvent bâclé par les installateur.
Rajouter
un joint silicone d’étanchéité, laissez une boucle pour que l’eau ne suive pas
le câble.
A noter
que certains professionnels déconseillent l’amarrage de l’antenne sur les
souches de cheminée fragiles.
Lien
à consulter : fiche www.toiture.com
« entretenir votre
toiture »
On peut parfois envisager une isolation
de la
toiture par l’extérieur, en particulier quand celle ci
est encore soit à installer, soit à démonter pour
une remise en état ou un remplacement total..
L’avantage de cette technique est de protéger
votre charpente, et éventuellement de la garder
largement apparente dans vos pièces. Le gain
de volume intérieur est aussi sensible.
Ceci implique donc le démontage de la toiture
quand on intervient sur une maison déjà réalisée.
On trouve maintenant des produits élaborés,
rapides à poser, la face inférieure vous fournissant
directement le « plafond » des combles.
nota : dans le cas des combles, on entend généralement par
« plafond » l’habillage de vos rampants,
puisqu’il n’y a que
rarement assez de place pour y créer un plafond horizontal.
Parmi les produits possibles on peut citer par exemple les panneaux sandwich et
caissons auto-portants
en PSE (exemple , les
panneaux Calibel (en plus très performants en acoustique).
Citons aussi les isolants
minces thermo-refléchissants en rouleaux Cliva-Thermo (matelas de bulles,
enfermées dans un film de
polyéthylène, recouvert d’aluminium, en 7, 14 et 21 cm d’épaisseur,
hydrophobe, garanti 10
ans).
Enfin, la gamme TRI-ISO et TRISOFLEX de la société Actis est un ensemble
d’isolant mince en rouleaux,
à très haute performance
(2cm d’épaisseur équivalent à 20 cm de laine minérale !).
Voir lien sur ce site « isolants fins ».
panneaux de toiture de
type caissons
chevronnés panneaux sandwich
répondant à la norme
HQE
L’évacuation des eaux de pluie
Le choix d'un système
d'Evacuation des Eaux Pluviales tient compte d'une part de contraintes
techniques
et d'autres part d'aspects
esthétiques. Les contraintes techniques vont concerner la configuration de
votre
toiture (la pente du toit,
sa surface, le nombre de descentes…), ainsi que du type de couverture prévue
(tuiles, zinc, ardoises,
etc.).
Concernant l'esthétique,
qu'il s'agisse de gouttières demi-rondes, havraises, nantaises… il existe
nécessairement une solution
adaptée à votre goût et à la pluviométrie de votre région.
Durable grâce à sa patine
naturelle, le zinc présente une résistance exceptionnelle à la
corrosion, de
40 à 100 ans, selon
l'environnement du bâtiment (rural, urbain, industriel, marin). Il équipe
encore
beaucoup de vieilles maisons.
Les joints de dilatation doivent être soudés.
Des gouttières en aluminium
et cuivre peuvent aussi
s’observer parfois.
Mais ce sont bien sur les
gouttières PVC qui occupent principalement le terrain car elles ne nécessitent
pas de soudure (raccord par
colle ou mastic). Elles sont aussi bien moins chères et inusables.
Lien utile : Bricofiche « conduites d’évacuation
d’eau »
Bricofiche « poser ou réparer une
gouttière »
La cheminée
L’aménagement d’une habitation ancienne est souvent
l’occasion de remettre en activité
(ou à niveau) une cheminée.
Si telle est votre intention, ceci doit être effectué en premier car ensuite
certaines parties risquent
de ne plus être accessibles. Il faut en particulier s’assurer de son étanchéité
(il n’est pas rare de
rencontrer des combles enfumés !) et si nécessaire la
« chemiser ».
Que
le foyer soit ouvert ou fermé, on distingue généralement quatre styles de
cheminées :
rustique ou à l'ancienne ,
classique, moderne ou contemporaine.
La
cheminée se place naturellement sous le conduit existant. Mais les cheminées
centrales
sont aussi très
« tendance ».
Les foyers ouverts et les
foyers fermés (à insert) ont chacun leurs fans et détracteurs.
Foyer ouvert :
Le feu est directement
accessible, sa chaleur, son odeur et son bruit créent dans la pièce une
atmosphère
de bien être incomparable.
Foyer fermé :
Il s'agit d'une cheminée
pourvue d'une vitre (ou porte) qui s'ouvre et se ferme (à vitre cintrée,
prismatique ou de face,
porte fonte ou laitonné…). Fermée, elle offre un très bon rendement de
production de chaleur (75%)
grâce à un système de redistritution de l’air chaud.
Ouverte, elle offre aussi à
l'utilisateur les avantages du plaisir du feu à foyer ouvert.
Il existe aussi à l’inverse
des systèmes permettant de mieux exploiter la chaleur produite dans un foyer
ouvert et de la redistribuer
soit dans la pièce (exemple Typhon) soit dans la maison.
Les deux systèmes ne sont
donc pas si opposés qu’il y parait.
Il est possible d’encastrer
dans une cheminée déjà existante un insert. Par sécurité, il est recommandé
de consulter un spécialiste
en fumisterie car il faut que les matériaux de la cheminée soient adaptés à
une chaleur beaucoup plus
importante. Dans le cas d’inserts, les fumées peuvent atteindre des
températures
particulièrement élevées.
Bien entendu le foyer de
cheminée a un coté décoratif qui prévaut souvent au moment du choix.
La construction d’une
cheminée doit satisfaire aux conditions d’étanchéité, de résistance aux
températures,
de résistance à la
corrosion et d'isolation thermique requises pour l'usage auquel elle est
destinée.
4 règles essentielles sont
à respecter pour obtenir un bon résultat :
Les
conduits de cheminée doivent avoir une section identiques sur toute la
hauteur et leurs parois intérieures lisses. L'écart au feu est de
16 cm près des bois de charpente. Un entourage en béton armé s'effectue en
suivant la pente dans l'épaisseur des chevrons voisins. Le débouché de la
souche doit être au moins à 40 cm du faîtage, une protection thermique par
un doublage du conduit avec des éléments minces (briques, agglos), mise en
place d'un aspirateur statique. Enduit de la souche au mortier bâtard. Joints: Les boisseaux sont hourdés au
mortier bâtard dosé à 400 kg/m3 de sable (1/2 ciment, 1/2 chaux ) l' emploi du Plâtre ,
de mortier de ciment pur ou coulis réfractaire est interdit. L'épaisseur
du doit être en 5 et 8mm bien bourré à l’extérieur et lissé à l'intérieur. Tracé: Les conduits de cheminée
doivent être verticaux Des dévoiements sont autorisés
dans les constructions anciennes, et dans les maisons ayant moins de deux
étages (R+1) Le
conduit ne doit pas comporter plus de 2 dévoiements ( c' est à dire, plus
d'une partie non verticale) et l'angle de ce dévoiement doit être inférieur
ou égal à 20°
Créer une bonne
alimentation en air frais
Adapter la grandeur de la cheminée au volume de la pièce dans laquelle elle est installée
Respecter le rapport entre le volume du conduit de fumée et de la dimension du foyer (largeur x hauteur)
Avoir un bon dégagement de la sortie du conduit de fumées
Pour le foyer, les
matériaux de base sont la pierre, la brique ou la terre cuite réfractaire.
Le conduit de fumée
utilise des éléments normalisés NF obligatoire :
- pierre
- brique réfractaire
- boisseaux de terre cuite
- boisseaux en béton ou béton armé
- gaine en métal comme le tubage en tôle d’acier inoxydable.
Un conduit de cheminée
doit respecter 4 obligations ( norme-DTU P 51-701 : règles et processus
de
calcul des cheminées
fonctionnant en tirage naturel) :
- assurer le tirage nécessaire au bon fonctionnement,
- être étanche pour éviter tout risque d’intoxication et dysfonctionnement du
système d’évacuation,
- être résistant à la corrosion (condensas acides) ainsi qu’aux températures
des produits de
combustion,
- posséder une stabilité mécanique satisfaisante quelle que soit la hauteur.
Ainsi, selon sa structure (le conduit de cheminée
peut être "incorporé" dans l'épaisseur du mur, "engagé"
à demi dans l'épaisseur du mur et légèrement en
saillie, ou entièrement en saillie, il est "adossé"), le
conduit doit être solidement fixé à des éléments
porteurs, incombustibles.
Il doit avoir au moins une de ses faces directement
accessible, avec une isolation suffisante pour que le
refroidissement ne contrarie pas le tirage.
La section des conduits doit être uniforme dans
toute la hauteur.
Les conduits de fumée collectifs à tirage naturel
doivent être bien isolés notamment lors de la traversée
des combles et à l’extérieur. Le respect de l’écart
au feu entre le conduit et le bois de charpente le plus
proche est de 16cm minimum.
Un conduit individuel ne doit jamais comporter plus
d’un dévoiement (partie oblique permettant d’éviter
poutres ou autres ouvrages porteurs). Cela ne nuit
pas au tirage mais l’angle de ce dévoiement avec la
verticale ne doit pas excéder, de façon générale,
20°. Les raccordements d’un conduit collectif ne doivent
comporter aucun dévoiement.
Un conduit en trop mauvais
été fera l’objet d’un tubage inox. Ne remettez pas une
vieille cheminée
en route ou n’installez
pas un insert sans avoir vérifié au préalable que vous combles ont été
correctement
isolés auparavant (distance entre isolant et boisseau, nature de l’isolant).
Les souches de cheminée constituent un
élément important du paysage des toitures. Elles seront
souvent traitées dans les matériaux similaires à la
façade.
Vous avez tout intérêt à consulter un professionnel
car les textes réglementaires pour l’installation d’un
conduit de fumée, les calculs pour parvenir à un bon
tirage, le positionnement de la souche sur le toit
sont nombreux.
Attention aussi à la compatibilité
entre hotte aspirante et cheminée. Les hottes aspirantes
cohabitent mal avec les
cheminées à foyer ouvert, surtout si celles-ci sont mal alimentées en air (trop
peu
d’ouvertures au dessus des
portes et fenêtres). La fumée de la cheminée revient dans la pièce à cause de
la
dépression créée par la
hotte.
Pour les mêmes raisons,
l’installation d’une hotte à extraction dans une pièce où se trouve un conduit
à
fumée de chaudière à gaz
est interdite. Vous pouvez par contre installer une hotte à recyclage.
L'alimentation en air, qui
se faisait naturellement dans les logis anciens (sous les portes, les
fenêtres, etc.), doit être
créée dans les maisons modernes, trop bien isolées et calfeutrées.
Lien utile : les
règles de jebatis.com
Entretien de la cheminée
Fumée,
chaleur excessive, corps incandescents…
Les conduits de cheminée sont un
élément primordial de
la sécurité de votre cheminée, et par extension de vos combles. Leur sécurité
répond à des normes très
précises. Les conduits existants sont à contrôler, et éventuellement à remettre
aux normes. Les méthodes
de
réfection sont le tubage et le chemisage (enduit pâteux). La profession en
charge de ces travaux
s’appelle
la
fumisterie !
Il convient de s’assurer de l’absence de fissures, de l’éloignement de tous
matériaux combustibles
(éléments
de charpente, isolation…) à 16 cm de distance min.
Vérifiez
bien quand vous faites du feu qu’il n’y a pas de passage des fumées, même
minimes, dans le
Comble,
du à des fissures ou une porosité du conduit.
C’est
quelque chose dont on se soucie peu en comble perdu (les fuites de toiture assurant
la ventilation)
Mais
le problème peut apparaître très gênant une fois le comble aménagé.
En cas de doute sur l’état des conduits de cheminée, nous faisons appel à un
expert.
nota : les cheminées à foyer ouvert
sont aussi sources de bruits dans les étages, envisagez de fermer le
foyer avec une trappe quand vous ne faites pas de feu (isolation phonique
et thermique, imposé par
PROMOTELEC).